
Congrès FNCF 2025 - Journée des éditeurs de films, acte I
Date de publication : 26/09/2025 - 08:00
Une douzaine de distributeurs ont présenté des boucles d'images lors de la première partie de la 30e édition de cette journée marathon coorganisée par la FNEF et la FNCF.
Après les débats et constats alarmistes de la veille, c’est dans une atmosphère plutôt optimiste et enjouée que Victor Hadida et Richard Patry, présidents respectifs de la FNEF et de la FNCF, coorganisatrices de l’évènement, ont inscrit en préambule cette 30e Journée des éditeurs de films, organisée comme de coutume au sein de l'auditorium Michel-d'Ornano du Centre International de Deauville. Ce rendez-vous, qui revêtait des enjeux majeurs au sortir de huit mois consécutifs de baisse de fréquentation en salle, était toujours animé par le journaliste Didier Allouch.
Comme en 2021, il a incombé à Saje Distribution d’inaugurer cette très attendue journée. La structure, qui se dédie à une offre cinématographique centrée sur la foi chrétienne, a ainsi débuté sa boucle avec le documentaire Sacré-Cœur de Sabrina et Steven Gunnell (sortie le 1er octobre), retraçant l’histoire de Sainte Marguerite-Marie. Le distributeur a enchaîné avec un trailer de la fable d’animation américano-coréenne Le roi des rois de Jang Seong-Ho (5 novembre), qui retrace l’histoire de Jésus de Nazareth à destination du jeune public. Avant de conclure sur le drame brésilien Inexplicable de Fabricio Bittar (février 2026), sur deux parents bouleversés par une maladie grave touchant brusquement leur enfant, et qui s’en remettent à la foi pour affronter les évènements.
Place ensuite à ARP Sélection, qui avait demandé au comédien Guillaume Marbeck, à l’affiche de Nouvelle vague (8 octobre) d’animer en vidéo sa boucle de présentation, au côté de Michèle Halbersdat, codirigeante de la société. Celle-ci a donc illustré le film de Richard Linklater, vu en compétition de la sélection officielle à Cannes et dont Zoey Deutch et Aubry Dullin complètent le générique. S’ensuivit le trailer du nouvel opus de Park Chan-wook, le thriller social Aucun autre choix (11 février 2026) remarqué à Venise et primé à Toronto ; mais aussi de Dites-lui que je l’aime (3 décembre), deuxième long de, et avec, Romane Bohringer, librement adapté du livre éponyme de Clémentine Autain sur la défaillance maternelle. ARP a bouclé sa présentation avec des images de la chronique rurale chinoise Le temps des moissons d’Huo Meng (24 décembre), Ours d'argent de la meilleure réalisation à Berlin.
Ce fut ensuite le tour de Studiocanal, qui sort d’une riche année avec 12 millions d’entrées cumulées sur les douze derniers mois. La filiale du groupe Canal+ a projeté une longue boucle débutant ainsi par un de ses plus gros enjeux de distribution de 2025 : Chien 51 (15 octobre), nouveau thriller de Cédric Jiménez planté dans un Paris futuriste et dystopique et incarné par un casting de stars : Gilles Lellouche, Adèle Exarchopoulos, Louis Garrel, Romain Duris, Valeria Bruni-Tedeschi et Artus. Le distributeur a enchaîné avec les FA de la nouvelle comédie de et avec Jérôme Commandeur, T’as pas changé (5 novembre), avec aussi Laurent Lafitte, Francois Damiens et Vanessa Paradis. Mais aussi le lauréat du Valois de diamant d’Angoulême, Les enfants vont bien de Nathan Ambrosioni (3 décembre), incarné par Camille Cottin, reformant ainsi le duo de Toni en famille en 2023. S'en est suivi deux chroniques, pourtant très différentes, centrées sur l’enfance : Ma frère de Lise Akoka et Romane Gueret (7 janvier) remarqué en sélection Cannes Première en mai dernier ; et Les enfants de la Résistance (11 février 2026), nouvel opus de Christophe Barratier, porté par Artus, Gérard Jugnot, Julien Arruti et Pierre Deladonchamps et adapté de la bédé à succès de Vincent Dugomier, Benoît Ers et Cécile Jugla (éd. Le Lombard). Ce, avant de terminer par des images de Gourou (28 janvier), nouveau thriller de Yann Gozlan, présenté sur la scène du CID par son interprète principal et coproducteur, Pierre Niney. "Nous avons voulu retrouver la générosité, la tension et le côté très immersif que nous avions proposé avec Boîte noire", a déclaré le comédien, qui partage là l’affiche avec Marion Barbeau et Anthony Bajon.
Comme en 2021, il a incombé à Saje Distribution d’inaugurer cette très attendue journée. La structure, qui se dédie à une offre cinématographique centrée sur la foi chrétienne, a ainsi débuté sa boucle avec le documentaire Sacré-Cœur de Sabrina et Steven Gunnell (sortie le 1er octobre), retraçant l’histoire de Sainte Marguerite-Marie. Le distributeur a enchaîné avec un trailer de la fable d’animation américano-coréenne Le roi des rois de Jang Seong-Ho (5 novembre), qui retrace l’histoire de Jésus de Nazareth à destination du jeune public. Avant de conclure sur le drame brésilien Inexplicable de Fabricio Bittar (février 2026), sur deux parents bouleversés par une maladie grave touchant brusquement leur enfant, et qui s’en remettent à la foi pour affronter les évènements.
Place ensuite à ARP Sélection, qui avait demandé au comédien Guillaume Marbeck, à l’affiche de Nouvelle vague (8 octobre) d’animer en vidéo sa boucle de présentation, au côté de Michèle Halbersdat, codirigeante de la société. Celle-ci a donc illustré le film de Richard Linklater, vu en compétition de la sélection officielle à Cannes et dont Zoey Deutch et Aubry Dullin complètent le générique. S’ensuivit le trailer du nouvel opus de Park Chan-wook, le thriller social Aucun autre choix (11 février 2026) remarqué à Venise et primé à Toronto ; mais aussi de Dites-lui que je l’aime (3 décembre), deuxième long de, et avec, Romane Bohringer, librement adapté du livre éponyme de Clémentine Autain sur la défaillance maternelle. ARP a bouclé sa présentation avec des images de la chronique rurale chinoise Le temps des moissons d’Huo Meng (24 décembre), Ours d'argent de la meilleure réalisation à Berlin.
Ce fut ensuite le tour de Studiocanal, qui sort d’une riche année avec 12 millions d’entrées cumulées sur les douze derniers mois. La filiale du groupe Canal+ a projeté une longue boucle débutant ainsi par un de ses plus gros enjeux de distribution de 2025 : Chien 51 (15 octobre), nouveau thriller de Cédric Jiménez planté dans un Paris futuriste et dystopique et incarné par un casting de stars : Gilles Lellouche, Adèle Exarchopoulos, Louis Garrel, Romain Duris, Valeria Bruni-Tedeschi et Artus. Le distributeur a enchaîné avec les FA de la nouvelle comédie de et avec Jérôme Commandeur, T’as pas changé (5 novembre), avec aussi Laurent Lafitte, Francois Damiens et Vanessa Paradis. Mais aussi le lauréat du Valois de diamant d’Angoulême, Les enfants vont bien de Nathan Ambrosioni (3 décembre), incarné par Camille Cottin, reformant ainsi le duo de Toni en famille en 2023. S'en est suivi deux chroniques, pourtant très différentes, centrées sur l’enfance : Ma frère de Lise Akoka et Romane Gueret (7 janvier) remarqué en sélection Cannes Première en mai dernier ; et Les enfants de la Résistance (11 février 2026), nouvel opus de Christophe Barratier, porté par Artus, Gérard Jugnot, Julien Arruti et Pierre Deladonchamps et adapté de la bédé à succès de Vincent Dugomier, Benoît Ers et Cécile Jugla (éd. Le Lombard). Ce, avant de terminer par des images de Gourou (28 janvier), nouveau thriller de Yann Gozlan, présenté sur la scène du CID par son interprète principal et coproducteur, Pierre Niney. "Nous avons voulu retrouver la générosité, la tension et le côté très immersif que nous avions proposé avec Boîte noire", a déclaré le comédien, qui partage là l’affiche avec Marion Barbeau et Anthony Bajon.
Le relais a ensuite été pris par Nour Films, qui connaît cette année le meilleur exercice depuis sa création avec déjà plus de 600 000 entrées, portées par le succès de Life of Chuck, plus gros succès de son histoire. Parmi ses prochaines sorties, illustrées par une boucle de bandes-annonces, le distributeur pourra compter cette année sur trois biopics : Berlinguer, la grande ambition d’Andrea Segre (8 octobre), consacré au célèbre homme politique italien Enrico Berlinguer ; Teresa de Teona Strugar Mitevska (10 décembre), avec Noomi Rapace dans les habits de Mère Teresa ; et Magellan de Lav Diaz (31 décembre), représentant des Philippines à l’Oscar du meilleur film international après avoir été projeté à Cannes, avec Gael Garcia Bernal dans la peau du célèbre navigateur et explorateur portugais. L’année 2026, elle, sera l’occasion de découvrir Une fille en or de Jean-Luc Gaget (15 avril), comédie romantique réunissant Pauline Clément, Arthur Dupont et Emilie Caen ; Ce qu’il reste de nous de Cherien Dabis (11 mars), positionné par Nour Films comme "la première fresque sur l’histoire de la Palestine", qui représentera la Jordanie à l’Oscar du meilleur film international ; et I Was a Stranger de Brandt Andersen (4 février), un drame autour de réfugiés syriens avec notamment Omar Sy au générique.
Dans un tout autre registre, UGC Distribution a déroulé un programme – presque intégralement – dédié à son genre de prédilection : la comédie. En commençant par des images de C’était mieux demain de Vinciane Millereau (8 octobre), avec Elsa Zylberstein et Didier Bourdon en couple des années 1950 propulsé dans le monde moderne, avant de lancer plusieurs teasers de Chasse gardée 2 d’Antonin Fourlon et Frédéric Forestier (10 décembre), suite d’un premier volet plébiscité avec plus de 2 millions d’entrées il y a deux ans, avec de nouveau Didier Bourdon, Camille Lou et Hakim Jemili et Studio TF1 en codistribution. Autre franchise comique attendue illustrée ici en images : Ducobu et le fantôme de Saint-Potache d’Elie Semoun (7 octobre 2026), sixième opus de la saga aux 6 millions d’entrées avec Halloween pour accroche. Enfin, le distributeur a projeté les bandes-annonces de La bonne étoile de Pascal Elbé (12 novembre), avec Benoit Poelvoorde – accompagné d’Audrey Lamy, Zabou Breitman et Pascal Elbé lui-même – en déserteur se faisant passer pour juif afin de gagner plus facilement la zone libre, introduit en vidéo par son réalisateur ; ainsi que Ceux qui comptent de Jean-Baptiste Leonetti (11 mars 2026), une comédie dramatique sur fond de galères financières avec Sandrine Kiberlain et Pierre Lottin.
De son côté, Paramount Pictures France a décidé de se concentrer sur deux titres. A commencer par Regretting You de Josh Boone (29 octobre), drame romantique incarné par Allison Williams, Mckenna Grace, Mason Thames et Dave Franco adapté du roman éponyme de l’autrice à succès Colleen Hoover, introduit par un message vidéo de trois de ses principaux comédiens pour annoncer que la chanteuse Marine signerait la chanson originale du film. Le distributeur a ensuite mis un gros coup de projecteur sur Running Man d’Edgar Wright (19 novembre), un thriller d’action/science-fiction porté par Glen Powell dont les professionnels ont pu découvrir plusieurs longs extraits.
Changement de registre, de nouveau, avec Condor Distribution, qui a notamment mis l’accent sur ses films cannois : The Mastermind de Kelly Reichardt (28 janvier 2026), où la cinéaste américaine revisite le film de braquage avec Josh O’Connnor, Alana Haim et John Magaro dans les rôles principaux, vu en compétition ; L’engloutie de Louise Hémon (24 décembre), un drame en montagne dans la France de la fin du XIXe siècle avec Galatéa Bellugi, Matthieu Lucci et Samuel Kircher, aperçu à la Quinzaine des cinéastes et prix Jean Vigo 2025 ; et Kika d’Alexe Poukine (12 novembre), un drame comique avec Manon Clavel se lançant dans le BDSM faute de ressources financières, passé par la Semaine de la critique. Le distributeur a également montré des images de Morlaix de Jaime Rosales (18 février 2026), un drame romantique sur deux époques réunissant notamment Samuel Kircher et Mélanie Thierry ; Sorda d’Eva Libertad (à dater), un drame espagnol autour du handicap ; et Omaha de Cole Webley, un drame américain porté par John Magaro passé par le Festival de Deauville. La société élargit parallèlement ses horizons, puisqu’elle se lance dans le cinéma de catalogue avec la réédition l’an prochain, à l’occasion du 35e anniversaire de sa sortie originelle, de La famille Addams de Barry Sonnenfeld ; et renoue avec l’animation, avec La rivière à l’envers de Paul Leluc, une proposition familiale également non datée à ce jour.
Optant, comme à son habitude, pour une présentation décalée de nouveau narrée par Pio Marmaï, Zinc. a esquissé un line-up très diversifié, en débutant par des images de La maison des femmes de Mélisa Godet (4 mars 2026), un drame centré sur un lieu soignant les femmes victimes de violence, porté par une très belle distribution : Karin Viard, Laetitia Dosch, Oulaya Amamra, Eye Haïdara, Pierre Deladonchamps, Juliette Armanet… Avant de lancer, sur une toute autre tonalité, des teasers de Tout va super de Patrick Cassir (1er semestre 2026), une comédie romantique avec Hakim Jemili, Marie Colomb et Noémie Lvovsky. La comédie sera également de la partie avec C’est quoi l’amour ? de Fabien Gorgeart, l’histoire d’anciens époux – Laure Calamy et Vincent Macaigne, entourés de Lyes Salem, Mélanie Thierry et Céleste Brunnquell – tentant de faire annuler leur mariage à l’Eglise. Puis, de nouveau, dans De la Comédie-Française de Bertrand Usclat et Martin Darondeau (second semestre 2026), une mise en abyme de la célèbre institution avec pléiade de comédiens issus de sa fameuse troupe : Pauline Clément, Laurent Stocker, Marina Hands, Guillaume Gallienne, Benjamin Lavernhe.... Changement de registre, une fois encore, avec Smashing Machine de Benny Safdie (29 octobre) biopic sur la légende du MMA Mark Kerr, avec Dwayne Johnson dans le rôle-titre et Emily Blunt, Lion d’argent de la meilleure réalisation à la Mostra.
La diversité a également été le maitre mot d’Apollo Films, qui a démarré sa boucle d’images avec Compostelle de Yann Samuell (à dater), une comédie dramatique avec Alexandra Lamy entreprenant, avec un adolescent en rupture, le pèlerinage de Saint-Jacques-de-Compostelle. La comédie, elle, a été illustrée par Jour J de Claude Zidi Jr. (15 octobre), où Kev Adams et Brahim Bouhlel débarquent en Normandie… le mauvais jour, et LOL 2.0 de Lisa Azuelos (11 février 2026), suite d’un premier opus à plus de 3,6 millions d’entrées en 2009, toujours avec Sophie Marceau et Thaïs Alessandrin, images inédites à l'appui. Le drame familial sera également bien représenté. Avec, d’abord, Louise de Nicolas Keitel (10 décembre), avec Diane Rouxel, Cécile de France et Salomé Dewaels. Puis Qui brille au combat de Joséphine Japy (31 décembre), drame autour du handicap inspiré de l’histoire de la réalisatrice, qui réunit Mélanie Laurent, Pierre-Yves Cardinal, Sarah Pachoud et Angelina Woreth dans ce son premier long, montré en séance spéciale sur La Croisette. L’animation a également été mise en lumière à travers la proposition familiale allemande Heidi et le lynx des montagnes de Tobias Schwarz (17 décembre), nouvelle version des aventures de la célèbre petite orpheline des alpes suisses. Sans oublier le polar dramatique Le gang des amazones de Melissa Drigeard (12 novembre), ou l’histoire d’un gang de braqueuses composée par Lyna Khoudri, Laura Felpin, Izïa Higelin, Mallory Wanecque et Kenza Fortas.
A l’opposé, Art House Films a dévoilé un line-up 100% japonais, comptant les nouveaux opus de plusieurs cinéastes déjà accompagnés en salles par le distributeur. A l’image de Love on Trial de Koji Fukada (11 mars 2026), drame romantique vu à Cannes Première. Parmi les autres temps forts de la structure : le drame Jusqu’à l’aube de Sho Miyake (14 janvier 2026), le thriller dramatique Sham de Takashi Miike, le drame romantique Egoist de Daishi Matsunaga (8 octobre) et la comédie dramatique Mon grand frère et moi de Ryota Nakano (29 avril 2026). La structure a en outre mentionné la nouvelle fournée des Saisons Hanabi, qui démarreront le 28 janvier 2026.
De son côté, Jour2Fête a présenté le drame La voix de Hind Rajab (26 novembre), réalisé par Kaouther Ben Hania, salué à la Mostra de Venise, où il a remporté le Grand prix du jury . La société de distribution a aussi dévoilé les images de La vie de château, mon enfance à Versailles de Clémence Madeleine-Perdrillat et Nathaniel H’Limi (15 octobre), film d’animation présenté à Annecy et à Angoulême, ainsi que du drame judiciaire On vous croit de Charlotte Devillers et Arnaud Dufeys (12 novembre), vu en section Perspectives à la 75e Berlinale. Jour2Fête a également illustré le drame islandais L’amour qu’il nous reste d'Hlynur Pálmason (17 décembre), qui retrace le temps d’une année, la trajectoire d’une famille dont les parents se séparent, ainsi que Promis le ciel d’Erige Sehiri (28 janvier 2026), présenté à Un certain regard à Cannes, avant de recevoir trois prix au Festival du film francophone d’Angoulême. La structure a aussi présenté les images de Rural d'Edouard Bergeon, un documentaire suivant l’agriculteur Jérôme Bayle, très médiatisé lors des mouvements agricoles de janvier 2024. Enfin, le distributeur a mis un coup de projecteur sur La baleine et le musicien de Valentin Paoli, documenaire retraçant la rencontre du compositeur de musique électronique Røne avec les baleines, Sarah Chazelle et Etienne Ollagnier, codirigeants de la société, invitant à cette occasion le réalisateur à monter sur scène pour présenter son film.
Achevant de dérider un panel de congressistes éprouvés par les débats intenses des deux précédents jours, Pathé a entamé sa présentation en doublant une scène des Tuche dans laquelle Jeff Tuche chauffe son équipe de football junior, en encourageant, cette fois, les professionnels du cinéma par son intermédiaire. Surtout, le distributeur avait mis les petits plats dans les grands en invitant sur scène (photo) Jamel Debbouze, Tarek Boudali, Julien Arruti, Elodie Fontan et son réalisateur, Philippe Lacheau, a présenté les tous premiers extraits de Marsupilami (4 février 2026). Philippe Lacheau, qui interprète le personnage principal, explique néanmoins qu’il s’agit davantage d’un reboot que d'une suite au cultissime film d'Alain Chabat. La société de distribution a en outre rappelé quelques-unes de ses autres sorties à venir : La grazia de Paolo Sorrentino (1er trimestre 2026), Coutures d’Alice Winocour (1er trimestre 2026), Amarga Navidad de Pedro Almodóvar, Karma de Guillaume Canet (21 octobre 2026), Police Flash 80 de Jean-Baptiste Sautet (18 mars 2026) ou encore L’inconnue d’Arthur Harari.
Enfin, Pan Distribution a clos la matinée en présentant un line-up fourni, introduit par le film d'animation 3D Les légendaires de Guillaume Ivernel (28 janvier 2026), "le plus gros film que Pan ait produit", a expliqué David Baudry, directeur de la distribution de la société, à qui a ensuite été décerné le Ticket d’or pour le succès d'Un p’tit truc en plus (10 977 014 entrées). Ticket qui lui a été remis par Ahmed Sylla, dans son rôle de Lupita, le personnage qu'il incarne dans la comédie L’infiltrée (11 février 2026), premier long de l’humoriste et comédien. Pan a aussi mis en lumière Les rêveurs d’Isabelle Carré (12 novembre), incarné par sa réalisatrice aux côtés de Judith Chemla et Tessa Dumont Janod, ainsi que Le pays d’Arto de Tamara Stepanyan, avec Camille Cottin et Par Amir (31 décembre). Les premières images de Mauvaise pioche (1er avril 2026), de et avec Gérard Jugnot ont aussi été dévoilées. Philippe Lacheau, Thierry Lhermitte, Michèle Laroque et Jean-Pierre Darroussin l’accompagnent au casting. Pan a en outre montré des extraits du film d'animation La fille dans les nuages de Philippe Riche (29 juillet 2026), du drame Du fioul dans les artères de Pierre Le Gall (2e trimestre 2026), du drame fantastique J’oublierai ton nom, réalisé par Yann Gonzalez (3e trimestre 2026), avec Vanessa Paradis, et de la comédie Permis de détruire d'Eric Fraticelli (11 mars 2026), suite de Permis de construire.
Kevin Bertrand, Eden Debruge et Sylvain Devarieux
© crédit photo : K.B.
L’accès à cet article est réservé aux abonnés.
Vous avez déjà un compte
Accès 24 heures
Pour lire cet article et accéder à tous les contenus du site durant 24 heures
cliquez ici